Les cafés en France!

Bonsoir à vous

Comment allez-vous ? J’espère que vous aimez toujours les repas, même si Dc Bessy n’est plus avec nous… Mais elle pense à nous, ne vous inquiétez pas !
Après la vidéo qu’Ekow nous a montrée sur le café, j’ai décidé de parler aussi du café, en France !

Café

Ce serait une grande spécialité française. On trouve beaucoup de cafés en France. Par rapport aux restaurants, ils sont ouverts tôt le matin à tard le soir et l’on peut y prendre une boisson ou prendre un repas léger. Normalement le service est rapide. Par contre personne ne vous presse à partir. Vous avez le choix de prendre quelque chose très rapidement ou d’y rester longtemps.

Aujourd’hui, 1 500 tasses sont consommées par minute en France, correspondant à 330 000 tonnes par an.

D’abord, un peu d’histoire !

Originaire d’une province d’Ethiopie, le café arrive par le port de Marseille. C’est là qu’on inaugure, vers 1640, le premier café français. Ces lieux sont alors particulièrement prisés des lettrés, philosophes et musiciens classiques.

Le café est actuellement la deuxième boisson (derrière le thé) la plus consommée au monde. Même si les plus gros buveurs se trouvent en Scandinavie, la France en est particulièrement adepte. A partir de 17 ans, plus de la moitié des Français en consomme, et chacun de nous en achète plus de 5 kg par an !

Consommation du café en France :

329 779 tonnes
71% à domicile,
16% dans les cafés, hôtels, restaurants,
13% dans les collectivités,
de plus en plus d’Arabica.

La loi qui interdit de fumer  dans les lieux publics en France a aussi un coté négatif pour les cafés. En effet, la fréquentation dans les cafés et les brasseries a enregistré  une baisse de 6% par rapport à avant.

C’est surtout un lieu d’échange, où on discute des nouvelles, du sport, en regardant les courses de chevaux, du sport… Il y a des habitués au café (comme Olof pour les cafés français), venant de la classe moyenne. Les étudiants n’ont pas le temps et préfère prendre un café à la va-vite.

Bonne semaine à vous et à demain!

Le Théâtre de l’Absurde

Salut à tous!

Au dernier dîner, les résidents de la maison française et moi ont dîné avec Dr. Bill Allen, un prof de MLL, et la conversation a pris un tour théâtral : nous avons parlé un peu du « Théâtre de l’Absurde ». Ce nom signifie des pièces qui sont, naturellement, absurdistes, mais dans une époque spécifique – c’est comme un mouvement d’art.

Donc, qu’est-ce que c’est, l’absurdisme ? Dans ce mouvement, on peut trouver des aspects particuliers qui sont révélateurs d’absurdisme : ces dramaturges nous montrent des personnages qui n’ont pas de sens de vie ; leurs actions sont naturellement sans sens aussi, et souvent ces actions sont illogiques et incompréhensible. Dans les pièces d’absurdisme en général, il y a aussi des éléments de la satire, de l’humeur noire, et aussi d’un sentiment que les personnages ne sont rien et personne.

S’il y a une pièce absurde qui est la plus connue, c’est peut-être En attendant Godot de Samuel Beckett. L’intrigue semble d’être très simple mais aussi un peu fou : deux personnages, Vladimir et Estragon, attendent un autre personnage (qui est, vraiment, plus comme une présence invisible) pour l’entérite de la pièce. Donc, on regarde deux personnages en attendant quelqu’un d’autre (et deux autres, plus tard mais seulement pour un peu de temps) pour deux actes, mais c’est difficile pour les spectateurs de connaissent Vladimir et Estragon, même après tout de ce temps : ils sont presque fous, et toujours absurdes. Pourquoi est-ce qu’ils attendent, et pourquoi est-ce qu’ils continuent, même quand Godot rate à apparaitre ? C’est facile à trouve dans cette pièce une grande tristesse – Vladimir et Estragon, deux hommes, ne rencontrent jamais avec « Godot », qui est presque « God » (le Dieu en anglais).

En attendant Godot

En attendant Godot

Je crois que j’aime l’absurdisme parce qu’il est juste ça : absurde. Dans une pièce d’Ionesco, Les Chaises, on regarde un couple âgé alors qu’ils et l’estrade sont submergés par les chaises titulaires. Dans une autre pièce d’Ionesco, Rhinocéros, les personnages sont transformés aux rhinocéros. Mais l’absurdisme de ces pièces est utile à montrer des grand idées et thèmes : la subversion, la tristesse, le vide, le fascisme, et la perte.

Les chaises

Les chaises