La vie dans la maison française et les élections dans le Côte d’Ivoire

Salut ! Malheureusement, ça c’est la dernière poste de l’année. J’ai bien m’amusé avec mes collocs. J’ai appris beaucoup des choses sur mes amis et de beaucoup des choses dans les présentations. J’ai pris beaucoup des choses intéressantes du monde pendant les discussions. Ce semestre était très occupé avec le travail, mon emploi, le simulacre de procès et des autres choses comme ça mais chaque lundi, j’attends avec impatience pour le diner avec la maison.

Pour le Thanksgiving, j’étais avec mon oncle et la famille de ma mère a Minneapolis. Je ne les ai jamais vue certains cousins, donc, c’était bien intéressant. Heureusement pour moi j’ai eu l’opportunité pour manger nourriture Ghanéen grâce à ma tante.

Dans une des semaines passés j’ai parle de Freddy Meiway, le chanteur Ivoirien, pour un de mes présentations et pendant la présentation, j’ai dit que Meiway a eu un spectacle au Ghana, et il a demandé que les Ghanéens pour prier pour les élections en Côte d’Ivoire. Il savait qu’il ya des problèmes fondamentales dans le pays.

Alassane Outtara toujours gagnera les élections parce que Laurent Gbagbo a différé les élections pour cinq ans, âpres avoir complété son premier terme. Essentiellement, il voulait un troisième terme. Dans les élections, Outtara était déclaré le vainqueur, me le conseil constitutionnel a annulé les résultats pour jurer Gbagbo. Pendant le couronnement, Laurent Gbagbo a porté le drapeau de La Côte de Ivoire et il a dit que les pouvoirs
occidentaux doivent laisser les affaires de son pays.

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J’espère sincèrement que les Ghanéens prient pour leurs voisins.

Les Triplettes de Belleville

Salut à tous!

Je suis désolé – je n’ai pas écrit un blog pour la dernière semaine ! J’ai pensé que j’ai lu dans le syllabus qu’il faut simplement que nous écrivions douze blogs, donc…je suis en écrivant maintenant.

De toute façon, cette semaine, je vais écrire un peu sûr le film Les Triplettes de Belleville. C’est un film animé de Sylvain Chormet où une grand-mère, Mme Souza, essaie à trouver son petit-fils, Champion, dans une grande ville (qui s’appelle Belleville) après qu’il est kidnappé.

Le style d’animation de ce film est très unique – les personnages peuvent être caractérisés par les couleurs qu’ils portent, où leurs cadres, et la représentation du corps humain est vraiment unique (Champion, par exemple, a des mollets très grands, presque ballonnés). Le film est aussi très coloré, et les décors sont très pittoresques. Aussi, et c’est très surprenant dans le film quand on est l’en regardent, il n y a pas de dialogue. Les personnages expriment ça qu’ils veulent dire avec les actions et des petits signes. Tout de ces choses crée un film très intéressant et stylistique.

Des citoyens de Belleville, Mme Souza et Bruno

Des citoyens de Belleville, Mme Souza et Bruno

Mais moi, j’aimais aussi bien le film pour son commentaire du monde ; le cinéaste a beaucoup de messages, et il est très explicit quand il veut montrer un thème ou un critique. Quand Mme Souza et son chien gros, Bruno, vont à Belleville, on voit la statue de liberté, mais c’est un peu changée : la statue est grosse, et elle tien un cornet et un hamburger. À Belleville, tous les citoyens (ce n’est jamais dit, mais je crois que c’est claire qu’ils sont des américains) sont gros aussi – il marche vers les rues, vacillants et répugnants. Un bâtiment, avec une grande bouteille de vin au sommet, montre les mots « en vino, veritas. »  La ville elle-même est énigmatique est très sombre ; elle surgit au-dessus des personnages (la ville en France devient sombre aussi quand la ville commence à grandir).

Ce film n’est pas réservé. Il est très direct ; il essaie à nous montrer un monde où tout le monde est exagéré mais, dans cet exagération, vrai.

Un chanson de “Les Triplettes de Belleville”