Hier, pour Furman Engaged, je suis allée aux (presque) toutes les présentations d’art. Dans le département d’art, tous les étudiants, pendant leurs semestres finals, fait une exposition. Les expositions sont une célébration de ton éducation et une culmination de toute son expérience avec Furman. Les expositions pour cette année sont déjà dans la gallérie, et ils sont impressive surtout. Pour Furman Engaged, chaque étudiant qui est dans l’exposition, fait une présentation sur sa collection. Ils doivent parler de son inspiration, son procès, et ses buts. Apres, les professeurs et l’audience peuvent demander les questions. La plupart des présentations ont réussi mais quelques étudiants n’ont pas bien préparé. Les gens qui ont réussi, ils ont investi beaucoup de temps et réflexion dans ses travails. Les autres (et il n’était pas beaucoup) n’atteignaient pas ses buts ou ils ne savaient pas le « pourquoi » de ses choix. Mais, l’exposition est très cool et quelques gens ont fait des choses magnifiques et tout le monde doit le visiter. Mes collections préférées sont des céramiques blanches qui sont faits avec le crin de cheval, le bande dessinée qui s’appelle « Seasons » et deux collections des peintures—les aquarelles (merci à Olaf et M. Patton qu’ils m’ont appris cette mot) qui sont inspirée par le mer, et les rectangles qui sont un exercice dans le théorie de couleur. Apres les présentations, j’ai rentrée chez moi et j’ai fait un liste de tout que j’ai appris parce que je doit fait ma collection l’année prochaine. Est-ce que quelqu’un a une idée pour mon exposition ?
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L’Art Bizarre
Est-ce que les étudiants française reçoivent un éducation bonne sur les arts ?
L’art est presque la seule chose que j’ai faite cette semaine. Ce weekend, je suis allé au High Museum et aussi a neuf petits galeries. J’ai vu beaucoup des peintures et photos merveilleux et quelques qui a été trop bizarre pour moi. Nous avons vu, dans le sous-sol d’une très bonne galerie, une exhibition qui me semble comme un filme d’horreur. Il y avait un bureau contre un mur qui était couvert par un drap plastique et beaucoup de « duct tape. » A l’autre cote de la chambre, il y avait une filme projetée sur le mur de l’artiste quand il fait cette exhibition. Dans le film, l’artiste écoute les sons d’un trou noir. Pendant qu’il les écoute, il « traduise » les sons et il les écrit dans un journal. Il est déjà trop bizarre mais ce n’est pas tout. Dans le film, il est dans son sous-sol et tu ne peut pas voir son visage, seulement ses mains qui sont couvert par un drap plastique et de « duct tape. » As-tu peur ? Oui. Moi aussi. Et, le plus effrayant, sur le mur au dessus de la bureau, il y avait un vielle feuille de papier avec beaucoup des griffonnages et des phrases comme ca : « elle me capturer. Je suis perd. Je ne vu rien. J’apprend rien et tout. » Il était le plus bizarre exhibition dans le monde, je pense. Voici le papier ici: http://www.travisdodd.com/album/murmurs
Christo et Jeanne-Claude
Salut à tous!
Comme tous les temps, j’étais très occupé avec mon travail cette semaine. J’ai des rédactions dans trois cours qui sont voulu dans les deux semaines prochaines. Je peux le faire ! Mais j’attends pour le dîner de la maison français parce que je reçois un repas gratuit (et de très bon gout) et nous pouvons nous relaxer pendant les jeux de langue. C’était mon tour pour conduire l’activité, et j’ai choisi « La Célébrité ». J’ai trouvé l’idée quand j’ai regardé le film, « Inglorious Basterds, » dans lequel il y a un scène où les personnages jouent le jeu dans un pub. Nous jouions dans une manière similaire, mais sans l’alcool, et il n’est pas allé assez bien que la scène du film.
P.S. Si vous voulez regarder un film moderne avec beaucoup de français et pouvez résister a beaucoup de violence, je recommande fortement ce film.
Pour mon sujet de culture français, je parlerai des artistes Christo et Jeanne-Claude. Je ne sais pas si ce sujet et complètement français, mais il y a définitivement un fond français. Aussi, j’adore ce genre d’art et je veux faire circuler conscience de ces artistes. Jeanne-Claude est née dans une famille militaire au Maroc. Elle a reçu d’éducation en France, en Suisse, et en Tunisie. Elle a fait la connaissance de Christo à Paris en 1958 et ils sont ont immigrés aux Etats-Unis en 1964. Leur art utilise une très grande échelle et est située ordinairement dans l’environnement. Voici leur site et nécrologie de Jeanne-Claude avec plus d’information.
Ils sont plus connus pour « The Gates » dans Central Park à New York, mais ils sont également connus pour emballage habituel les bâtiments et les monuments, inclus le Pont-Neuf, et même une partie d’une côte. Leur intention n’est pas d’avoir une signification profonde, pais plutôt pour impressionner les visiteurs avec l’esthétique visuelle. En raison de la manière un peu obstructive de leurs pièces, ils attirent généralement controverse dans les endroits de la pièce. Mes pièces favorites personnelles sont « Wrapped Trees, » « The Umbrellas, » « Over the River » et « the Mastaba. » Les deux derniers sont dans les étages de la production.
Si les pièces sont similaires à vous, c’est probablement à cause d’un message de télé d’AT&T.
Camille Claudel
Le jeudi dernier, je suis allée au café français. On était quatre je crois : Claire, Erika, Olaf, et moi. On a parlé de l’art abstrait, le bonbon Reese’s, et les tourments du vieux âge. J’ai appris un nouveau mot, « atelier, » que j’avais déjà entendu plusieurs fois, mais que je n’avais jamais exactement compris. « Atelier » veut dire le studio d’un artiste, et a rapport au sujet français que j’ai choisi cette semaine : Camille Claudel !
Née en 1864, Camille Claudel est une artiste française connue pour ses sculptures et pour ses relations avec le sculpteur Auguste Rodin. Elle est aussi la sœur de l’écrivain et le diplomate Paul Claudel. Encouragée par son père, Claudel a commencé à sculpter très jeune. Quand elle avait douze ans, son père a montré ses sculptures au sculpteur Alfred Boucher, qui l’a présentée à Paul Dubois de l’École des Beaux-Arts à Paris. En 1881, à l’âge de dix-sept ans, Claudel est entrée l’Académie Colarossi est y a établi un atelier de sculpture avec d’autres femmes anglaises. Parce que, pendant ces années, on n’a pas laissé entrer les femmes dans les cours aux Beaux-Arts, Alfred Boucher viendrait les visiter à leur atelier afin de critiquer leur art. En 1883, pendant que Boucher était à Rome, Rodin l’a remplacé à atelier, où il a rencontré Camille. Intrigué par sa beauté et son intelligence passionnée, Rodin l’a invitée à devenir sa collaboratrice. Elle a déménagé dans son atelier, où elle est devenue la seule femme de tous ses apprentis. Depuis les dix ans suivants, les deux ont travaillé côte à côte. Elle l’a assisté à faire les mains pour Les Bourgeois de Calais et à faire plusieurs parties de La Porte de L’Enfer. Pendant cette période, en 1888, elle a construit une de mes sculptures préférées, Sakountala, un plâtre duquel a reçu mention honorable aux Artistes Français en 1888.
L’œuvre et personnage de Rodin faisant toujours de l’ombre à son propre œuvre, Claudel éprouvait des difficultés avec formant son identité artistique au dehors du maître de la sculpture, quoique ses sculptures aient reçu des revues excellentes de Paul Leroi, un critique de l’art, et Mathias Morhardt, rédacteur du journal Le Temps. Au fur et à mesure, son affaire avec Rodin est devenue plus tendue. Il a refusé de quitter Rose Beuret pour Camille. Dans une de ses lettres, son frère, Paul Claudel, fait référence à sa sœur avant provoqué l’avortement ; en 1892, elle a quitté la maison de Rodin. L’année suivante, elle a commencé à soupçonner que Rodin volait ses idées artistiques. Pour les dix ans suivants, elle a vécu dans l’isolement, avançant à grand-peine. Ventes de son art se réduisaient, aggravant ses difficultés. En 1905, après avoir accusé Rodin d’avoir volé une de ses statues et d’avoir envoyé deux hommes à la tuer, elle a arrêté d’exposer ses œuvres et a commencé à détruire des modèles en argile. Elle habitait dans la crasse de son appartement, barricadé dans son atelier. Plusieurs ans plus tard, en 1913, Paul l’a fait interner dans Ville-Évrard, un hôpital psychiatrique. Elle y est morte de faim en 1943, à l’âge soixante-dix huit ans, après que l’occupation allemande a lancé une famine dans les hôpitaux psychiatriques français.
Puisque 1980, quand le metteur en scène Anne Delbée a crée une pièce sur sa vie, on a commencé à la redécouvre et réinsérer l’étude de son œuvre. Le livre, Camille Claudel, de Reine-Marie Paris (1984) et le film du même nom, réalisé par Bruno Nuytten (1988), ont revigoré aussi l’intérêt dans Claudel. Aujourd’hui, quelques-unes de ses sculptures sont exposées au Musée Rodin, à Paris.
Mes Sources:
Cooper, B. « Camille Claudel : Trajectory of a Psychosis. » Med Humanities 34 (2008) : 25-29.
Witherell, L. « Camille Claudel Rediscovered. » Woman’s Art Journal 6.1 (1985) : 1-7.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Claudel