C’est la dernière semaine que je serai absente de Furman quand j’écris mon blog ! Dr. Bessy a été si accommodant pendant mon absence et je lui suis reconnaissante d’utiliser le Skype pour me permettre de joindre vos dîners. Je suis contente d’habiter dans l’âge de la technologie ! Maintenant, j’ai hâte de rentrer, de commencer mon groupe de conversation, et d’aller aux activités françaises. Le film ce jeudi a lieu à une école… je me demande si Claire essayait de m’attirer. Ah ah.
L’annonce récente que la France a gagné la Coupe de monde de pâtisserie (Claire a posté un article à propos de ce sujet sur notre page Facebook), m’a fait rappeler un film américain sur un concours français que j’aime beaucoup : « Kings of Pastry, » ou, en français, « Les rois de la pâtisserie. » Ce film, fait par deux cinéastes des documentaires qui s’appellent D. A. Pennebaker et Chris Hegedus, suit quatre chefs pâtissiers pendant qu’ils préparent pour le concours de 2007 pour gagner le titre tenu en haute estime « Meilleur Ouvrier de France, » accordé par le président français. Ce prix est donné dans beaucoup de catégories : la pâtisserie et la confiserie ainsi que la charpente en bois, la fromagerie, la lingerie, l’ébénisterie, et l’horlogerie, parmi d’autres.
Chaque année, le concours choit un thème, et en 2007 il était le mariage. Les exigences dépendent sur le thème, donc cette année-là les chefs avaient dû faire une pièce montée, une sculpture en chocolat, une sculpture en sucre, des choux à la crème, de la pâtisserie pour le petit déjeuner et le thé, de la confiture, une petite sculpture (appelée le bijou), et un plat des desserts qu’on servirait à un restaurant. En plus, tout doit être fait de zéro, sauf le bijou. C’est fou ! Le concours a lieu sur trois jours, à Lyon. On est jugé sur les saveurs des plats et la qualité du travail.
Regardez la bande annonce ici.
Cette histoire me séduit parce que j’adore les histoires sur les gens qui sont très ambitieux et qui décident de poursuivre un but difficile. J’aime les gens qui démontrent l’implacabilité! Les sculptures en sucre ne m’importent pas, en fait je les trouve assez bêtes (obstinément pragmatique, je me demande pourquoi on fait quelque chose du sucre qui n’est pas mangeable) MAIS quand les sculptures en sucre tombent et cassent dans ce film, mon cœur brise. Je suis triste pour les chefs, qui ont donné corps et âme, dont la petite faute a causé une avalanche de rêves cassés. Les cinéastes ont fait du travail admirable à rendre l’histoire si captivante.
Mes Sources :
http://www.24heures.ch/culture/france-championne-monde-ptisserie/story/22720124
http://en.wikipedia.org/wiki/Kings_of_Pastry
http://fr.wikipedia.org/wiki/Meilleur_ouvrier_de_France