Le Théâtre de l’Absurde

Salut à tous!

Au dernier dîner, les résidents de la maison française et moi ont dîné avec Dr. Bill Allen, un prof de MLL, et la conversation a pris un tour théâtral : nous avons parlé un peu du « Théâtre de l’Absurde ». Ce nom signifie des pièces qui sont, naturellement, absurdistes, mais dans une époque spécifique – c’est comme un mouvement d’art.

Donc, qu’est-ce que c’est, l’absurdisme ? Dans ce mouvement, on peut trouver des aspects particuliers qui sont révélateurs d’absurdisme : ces dramaturges nous montrent des personnages qui n’ont pas de sens de vie ; leurs actions sont naturellement sans sens aussi, et souvent ces actions sont illogiques et incompréhensible. Dans les pièces d’absurdisme en général, il y a aussi des éléments de la satire, de l’humeur noire, et aussi d’un sentiment que les personnages ne sont rien et personne.

S’il y a une pièce absurde qui est la plus connue, c’est peut-être En attendant Godot de Samuel Beckett. L’intrigue semble d’être très simple mais aussi un peu fou : deux personnages, Vladimir et Estragon, attendent un autre personnage (qui est, vraiment, plus comme une présence invisible) pour l’entérite de la pièce. Donc, on regarde deux personnages en attendant quelqu’un d’autre (et deux autres, plus tard mais seulement pour un peu de temps) pour deux actes, mais c’est difficile pour les spectateurs de connaissent Vladimir et Estragon, même après tout de ce temps : ils sont presque fous, et toujours absurdes. Pourquoi est-ce qu’ils attendent, et pourquoi est-ce qu’ils continuent, même quand Godot rate à apparaitre ? C’est facile à trouve dans cette pièce une grande tristesse – Vladimir et Estragon, deux hommes, ne rencontrent jamais avec « Godot », qui est presque « God » (le Dieu en anglais).

En attendant Godot

En attendant Godot

Je crois que j’aime l’absurdisme parce qu’il est juste ça : absurde. Dans une pièce d’Ionesco, Les Chaises, on regarde un couple âgé alors qu’ils et l’estrade sont submergés par les chaises titulaires. Dans une autre pièce d’Ionesco, Rhinocéros, les personnages sont transformés aux rhinocéros. Mais l’absurdisme de ces pièces est utile à montrer des grand idées et thèmes : la subversion, la tristesse, le vide, le fascisme, et la perte.

Les chaises

Les chaises

Samuel Beckett

Donc… cette semaine était trop longe… mais c’est pas grave. J’ai acheté des « Whoppers » parce que ils sont tellement délicieux. Je me demande si les Whoppers existent en France. Je ne sais pas. Ces blogs sont difficile pour écrire. Je ne vois jamais Pierre, je ne apprend pas plus du Français car je n’ai pas une classe and je suis trop paresseux pour écrire une papier de 350 mots juste sur un sujet Française.  Je ne veux pas ennuyer tout le monde avec touts les auteurs. Eh… c’est pas grave.

Samuel Beckett était un auteur très intéressent dans le monde de la littérature Française parce que il n’était pas de France, il est né dans Irlande et son première langue était Anglais mais il apprenait Français et Italienne. C’est intéressent parce que quand il écrivait dans La Théâtre de l’Absurde il écrirait le même livre, quelquefois, en Français et Anglais. Ce n’est pas exactement le même comme s’il aurait écrit en Français et l’a traduit alors à Anglais. Parce que il pourrait  parler dans les deux langues, il a écrit le même histoire deux fois dans deux différents façons. C’est compliqué, mais je pense que vous pouvez le comprendre. De plus, Beckett était un joueur excellent de grillon parce que pourrait jouer avec sa main gauche. En fait, il était le seul lauréate publier un article dans « Wisden Cricketer’s Almanack », le Bible du jeu de grillon.

Les exemples des travails de Beckett sont ; En Attendant Godot (Waiting for Godot) dans 1948 à 1949, Fin de Partie (Endgame) dans 1955 à 1957, Krapp’s Last Tape dans 1958, et Happy Days dans 1960. Ces pièces sont associées avec la Théâtre de l’Absurde, mais Beckett n’était pas un vrai existentialiste comme le plus des auteurs dans la théâtre.

WhoppersSamuel BeckettWaiting For Godot