J’adore le documentaire « La marche de l’empereur ». Il y a beaucoup de versions de ce film. L’original est en français mais la version que j’ai vue est en anglais. Il y a quelques différences entre les deux. Par exemple, dans l’original, les manchots parle avec l’un l’autre. Le dialogue est dans la première personne. Mais, dans la version en anglais, la narration de Morgan Freeman est dans la troisième personne, comme la voix de Dieu. Un film documentaire sur la nature comme ceux-là à la télévision. Mais ce film m’a touché beaucoup parce que l’histoire est très humaine. Des observations des manchots sont racontées comme un récit humain avec l’amour et la perte, le sacrifice et la persévérance. L’habitat des manchots empereurs est l’Antarctique, l’endroit le plus dur de la Terre à habiter, le plus froid, le plus sec, le plus venteux. Les conditions sont très rigoureuses, mais les manchots trouvent les moyens pour survivre et continuer leur lignée et reproduction et protéger les enfants. En hiver, ils se tiennent dans une foule pour garder la chaleur. Beaucoup des manchots ou des œufs meurent mais en fin, la vie gagne.
Le tournage de ce film est très difficile. Le réalisateur Luc Jacquet est son équipe y restaient pour 13 mois. Ils devaient porter six épaisseurs de vêtements. La température moyenne est -56°F à -49°F ou -49°C à -45°C. Mais la température descend en hiver, -81°F à -76°F ou -63°C à -60°C. Le vent est cruel aussi.
Alors, c’est un nouveau idiome, « il fait un froid de canard » quand il fait extrêmement froid.
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