Les Jeux de la Francophonie, Nice 2013
Ce week-end, en parcourant des journaux français et francophones sur internet, j’ai découvert un sujet qui m’a beaucoup intéressé puisque je suis passionnée par les cultures étrangères et que j’aime beaucoup le sport : il s’agit des « Jeux de la Francophonie », qui ont lieu en ce moment à Nice dans le sud de la France. Ce festival rassemble des jeunes athlètes et artistes venant de pays francophones, ou même aussi de pays qu’on appelle « observateurs de la francophonie » (la Pologne, l’Autriche, la Croatie, la Géorgie…)
Ces jeux ont pour but de créer un évènement qui rassemble des jeunes autour de ce qu’ils ont tous en commun : la langue française ! Ils ont lieu alternativement dans un pays du Sud et du Nord.
J’ai été très touchée par cet évènement car je pense que c’est une belle manière de rapprocher des jeunes venant de pays différents et pourtant partageant une même langue, et de découvrir la diversité culturelle de ces régions via le sport et l’art. Je suis sûre que cette expérience est humainement et culturellement très enrichissante pour ces jeunes qui grâce à des rencontres avec d’autres francophones, élargissent leurs horizons et créent une certaine solidarité !
– Voici le clip de présentation des Jeux de la Francophonie : http://www.youtube.com/watch?v=_wGukSkyqrU
– Et l’interview d’un chanteur suisse qui a participé à ces « Jeux » : http://www.youtube.com/watch?v=-mKGNj_dgsM
Une définition intéressante de la francophonie que j’ai trouvée dans le Huffington Post :
« On distingue en général entre la Francophonie, avec une majuscule, concept géopolitique qui renvoie à l’ensemble des pays membres des instances francophones, en particulier de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie), et la francophonie, avec une minuscule, notion sociolinguistique qui englobe les pays dans lesquels le français joue un rôle important ou jouit d’un statut particulier. Et ces deux ensembles ne se recouvrent pas nécessairement : l’Algérie par exemple fait partie de la francophonie sociolinguistique (le français y est très parlé) mais pas de la francophonie géopolitique (elle n’est pas membre de l’OIF). »