La vie très difficile des manchots empereurs

art_Penguins_emperor_and_chick J’adore le documentaire « La marche de l’empereur ». Il y a beaucoup de versions de ce film. L’original est en français mais la version que j’ai vue est en anglais. Il y a quelques différences entre les deux. Par exemple, dans l’original, les manchots parle avec l’un l’autre. Le dialogue est dans la première personne. Mais, dans la version en anglais, la narration de Morgan Freeman est dans la troisième personne, comme la voix de Dieu. Un film documentaire sur la nature comme ceux-là à la télévision. Mais ce film m’a touché beaucoup parce que l’histoire est très humaine. Des observations des manchots sont racontées comme un récit humain avec l’amour et la perte, le sacrifice et la persévérance. L’habitat des manchots empereurs est l’Antarctique, l’endroit le plus dur de la Terre à habiter, le plus froid, le plus sec, le plus venteux. Les conditions sont très rigoureuses, mais les manchots trouvent les moyens pour survivre et continuer leur lignée et reproduction et protéger les enfants. En hiver, ils se tiennent dans une foule pour garder la chaleur. Beaucoup des manchots ou des œufs meurent mais en fin, la vie gagne.

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En hiver, ils se tiennent dans une foule pour garder la chaleur.

Le tournage de ce film est très difficile. Le réalisateur Luc Jacquet est son équipe y restaient pour 13 mois. Ils devaient porter six épaisseurs de vêtements. La température moyenne est -56°F à -49°F ou -49°C à -45°C. Mais la température descend en hiver, -81°F à -76°F ou -63°C à -60°C. Le vent est cruel aussi.
Image du Blog nathou.centerblog.netAlors, c’est un nouveau idiome, « il fait un froid de canard » quand il fait extrêmement froid.

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Le scaphandre et le papillon

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Est-ce que tout le monde a vu « Le scaphandre et le papillon » ? A mon avis, il est un de ces films avec la plus belle cinématographie. Pour les gens qui ne l’ont jamais vu, le film dit l’histoire de Jean-Do, qui est un rédacteur en chef du magazine de mode « Elle ». Un jour, il est affecté par « locked-in syndrome ». Ça veut dire que tout son corps est paralysé. Il peut bouger rien, sauf son œil gauche. Piégé dans son corps sans bouger, son âme est plein d’imagination, qui voyage partout. Avec une infirmière, ils trouvent un système de communication pour lui. L’infirmière lui dit l’alphabet dans l’ordre des lettres de la plus courante à la moins courante en français ; et Jean-Do cligne quand il entend la lettre qu’il veut. Oui, je sais que c’est très lent, mais il peut écrire son autobiographie, faisant cette méthode. C’est une histoire vraie ! Et très admirable !
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J’ai dit que la cinématographie est magnifique. Il y a beaucoup de plans de son point de vue. Quand il cligne, on voit sa paupière battant. Dans la vidéo, il y a une sensation de claustrophobie parce que les visages sont en très gros plan. Jean-Do est emprisonné dans son propre corps.
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Ces deux vidéos toujours me font pleurer. Matthieu Amalric est un acteur excellent. Il acte avec un œil. Max von Sydow est simplement magnifique. Je ne savais pas qu’il peut parler français jusqu’à j’ai vu ce film.
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Une expression nouvelle, c’est « faire le pont », pour l’esprit des vacances de Thanksgiving. Si un jour férié est mardi, on ne travaille lundi. Ou si un jour férié est jeudi, on ne travaille pas vendredi. Le jour entre deux jours férié devient un jour de congé aussi. Et on dit « faire le pont ».

Luc Besson

On pense du cinéma français come plus artistique que le cinéma d’Hollywood, par exemple, la Nouvelle Vague (François Truffaut ou Jean-Luc GLuc Besson et sa deuxieme femme, Milla Jovovichodard), Amélie (très inventif visuellement), The Artist (muet, noir et blanc), Le scaphandre et le papillon (la belle cinématographie), les films de Jacques Audiard, Agnès Varda, etc. Néanmoins, entre les réalisateurs français, Luc Besson est peut-être le plus Hollywood, le plus réussi commercialement du tout.

luc_besson-thumb_2432Luc Besson est né le 18 mars 1959 à Paris. Ses parents étaient des instructeurs en plongée sous-marine. Il plongeait beaucoup jusqu’à un accident quand il avait 17 ans. Et ce sujet est exploré dans son film Le Grand Bleu, un exemple du « cinéma du look » avec Subway et La Femme Nikita. Ce film romance la passion du plongeur, sa liaison avec l’océan et les dauphins, peut-être c’est un point de vu nostalgique car Luc Besson devait s’arrêter de plonger. A mon avis, Le Grand Bleu est un peu mélodramatique, mais il était un grand succès au box-office dans les années 1980s.

Luc Besson avec sa deuxieme femme, Milla Jovovich

Après ça, Luc Besson a fait Léon, avec Jean Reno (l’acteur récurrent), Gary Oldman, et Natalie Portman (son premier film). Léon (Reno) est un tueur de gages et Mathilda (Portman) demande  de lui apprendre son « métier » pour venger son petit frère. J’aime ce film beaucoup.

Mais, le film qui est le plus grand succès réalisé par Luc Besson, c’est Le Cinquième Élément, avec Bruce Willis, Milla Jovovich et Gary Oldman. C’était le film qui était produit au d’hors d’Hollywood avec le plus gros budget à ce moment-là.

Maintenant, il est plus actif comme un producteur. Il produit les films américains comme Taken (Liam Neeson), Lockout, Columbiana, Transporter aussi que les films français Taxi, District B13.

Et comme nous avons discuté la semaine dernière, j’espère que son école de la Cité, cinéma et télévision va réussir.

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J’ai appris un mot nouveau. Pas vraiment. J’avais connu ce mot déjà mais j’ai appris une nouvelle signification. On dit « la clé » pour l’USB. J’ai donné ma clé à Claire pour voir le film La Rafle parce que j’avais beaucoup de travail jeudi soir. C’est un bon film bien qu’il réitère le même discours de ce sujet.

De battre mon cœur s’est arrêté

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« De battre mon cœur s’est arrêté » est un film français, réalisé par Jacques Audiard en 2005, avec Romain Duris, Melanie Laurent et Linh Dan Pham (un actrice vietnamienne). C’est l’histoire d’un jeune homme, Tom (Romain Duris), un agent immobilier véreux, qui veut aussi devenir un pianiste. Son père est un agent immobilier véreux aussi et sa mère, qui est morte, a été une pianiste concertiste. La vie de Tom se divise comme deux parties : la violence et la beauté de la musique. Mais il n’y a pas de ligne libre qui sépare ses deux vies. Au contraire, elles mélangent. Quand Tom travaille dans l’immobilier véreux, il pense de la musique, de son piano. Et quand il joue du piano, il est crispé. Romain Duris est brillant avec sa représentation d’un homme tendu qui constamment cherche quelque chose qui peut lui compléter, mais il n’y pas quelle chose. C’est pourquoi il toujours désir, toujours veut dans sa quête de chercher quelque chose qui manque. Romain Duris se trémousse tout le temps et avec son habitude très particulière , il portraiture la tragédie de tout le monde. On toujours poursuit le bonheur, mais c’est différent d’un film d’Hollywood parce qu’il n’y a pas de récompense à la fin. Sa poursuite et son désir jamais arrêtent.

J’aime aussi Linh Dan Pham, qui joue son enseignante du piano. Elle ne parle pas français et elle peut parler peu d’anglais, comme « No smoking ! » En dépit du mur de langue, elle le comprend et compatit. C’est intéressant parce que quand elle parle vietnamienne, il n’a pas de sous-titre. Donc, la plupart de gens qui regarde le film ne peut pas la comprendre. J’ai la compris et c’est très touchant pour moi parce que ils peuvent se communiquer avec leur propres langues.

Quand j’ai vu le film, j’aimais aussi comment Linh Dan représente les immigrants vietnamiennes en France. Vietnam a été une colonie français donc la liaison entre elle et Tom symbolise la liaison entre France et Vietnam comme son colonie.

Finalement, la musique d’Alexandre Desplat est superbe ! Bande annonce

Alexandre Desplat

J’ai passé un long weekend très merveilleux. Mon petit copain m’a rendu visite et nous avons fait beaucoup de choses ensemble, comme jouer un jeu appelé « Clue », bavarder des choses stupides, rire, aller au centre-ville par le bus, regarder les films, faire la cuisine et rencontrer des amis. Samedi, nous sommes allés à un restaurant. Il y avait un couple qui fêtait leur vingt-septième anniversaire là-bas. Ils anonymement ont payé $20 pour nos repas. Quelle chance !
Je m’amusais beaucoup et je suis très triste que la vacance est terminée.
Alor, je voudrais parler d’un compositeur français de musique de film que j’aime beaucoup. Il s’appelle Alexandre Desplat. Il a écrit de musique pour beaucoup de films français, comme « De battre mon cœur s’est arrêté » (C’est un film très admirablement fait, une histoire très belle) ou « La doublure », « Coco avant Chanel » etc. Mais il est maintenant très célèbre à Hollywood. Il a travaillé pour beaucoup de grandes productions, des « blockbusters » à gros budgets, comme « Harry Potter et les Reliques de la Mort » ou « Twilight, chapitre II : Tentation ». Sa belle musique est une conteuse toute seule. Elle peut évoquer des sentiments et émouvoir l’audience. Alexandre Desplat a obtenu quatre nominations des Oscars pour son composition dans les films « The Queen », « L’étrange histoire de Benjamin Button », « Fantastic Mr. Fox » et « Le discours d’un roi ». Mais mon préféré de lui est probablement une pièce dans mon film favori « The Tree of Life ».
Voilà des clips.
The Tree of Life on YouTube
Twilight (un film mauvais avec de la musique superbe)
Le discours d'un roi

Barthes

Le weekend dernier est un bon weekend. Le vendredi, je gouté un macaron aux fraises et que c’est délicieux. Bon travail Meredith, Claire et Lourdes ! C’était très délicieux que j’ai fini le crème invendu. Il y en avait beaucoup et j’ai fini tout.:)

Elles ne sont pas Claire et moi. Mais c'est le hamac.

Elles ne sont pas Claire et moi. Mais c'est le hamac.

Le samedi, comme Claire a dit, c’était un jour parfait. Il faisait beau. Claire et moi, nous nous sommes étendues sur un hamac énorme sous le feuillage. Nous devions pousser à la terre avec nos mains. Nous avons trouvé un système parfait. Quand j’étais plus proche à la terre, je poussais. Et alors, Claire. Et moi. Et elle. Et moi… Le hamac bougeait très forte d’un côté à l’autre. Nous continuions comme ça jusqu’à nous avons réalisé que nous deux avions envie de vomir. C’est un jour très reposant où je ne pensais pas au travail ou stress.

Cette semaine je vais discuter Roland Barthes, un critique français très important. Entre ses œuvres, j’aime beaucoup les deux : « La mort de l’auteur » et le mythe. Dans « La mort de l’auteur », il dit que l’auteur n’est pas la source de sens ou signification. Quand on interprète un œuvre, on normalement recherche la vie de l’auteur pour découvrir ce que l’auteur veut dire. Mais pour Barthes, le sens n’est pas limité pas ce qui se passe avec l’auteur. Le sens est infini. Le lecteur peut comprendre un livre basé sur ses expériences personnelles. Barthes défie l’autorité de l’écrivain en déterminer la signification. Selon lui, il n’y a pas de signification finale ou correcte.

Son théorie du mythe est très intéressante aussi. Quelque fois, il y a des choses ou des pensés qui semblent naturelles. Pour Barthes, il n’y pas quelle chose comme « naturel », sans l’idéologie. Tous les idées sont construites et faites comme « naturel » par la culture. Par exemple, que les femmes sont maternelles est une idée renforcé par la société. Dans le zoo ou un film sur la nature, on montre des images de l’animal femelle s’occupant d’enfant. Et on dit « Regard ! Ce doit être naturel pour le mère de s’occuper d’enfant ».

The Artist

Le film de la semaine dernier, c’est « The Artist », le premier film français qui a gagné la récompense du Meilleur Film dans les Oscars. C’est un phénomène parce qu’aussi, c’est un film muet en noir et blanc. Il y a un débat autour que ce film mérite ca récompense très importante (comme tous les gagnants des années précédentes). Mais « The Artist » attire beaucoup plus d’attention probablement à cause de sa forme. De nos jours, il semble que la plupart des films produits ait des technologies les plus nouvelles et impressionnantes, comme CGI, 3D, etc. pour étendre les possibilités de la production de film. Au contraire, « The Artist » a fait l’opposé. Il embrasse les limites à l’origine du cinéma, avec la pellicule du format 1 :33 :1 et la manque du son et de la couleur. C’est un essai louable parce que je sincèrement crois que la créativité vienne des limitations.

Néanmoins, beaucoup de personnes pensent que le film est un truc pour se profiler comme un film d’art qui fait appel aux critiques. Moi, avant que je l’aie vu pour la première fois en janvier, j’avais eu des grandes espérances pour le film et son ambition. Donc, après je l’ai vu, j’étais un peu déçue. En dépit de sa forme, le contenu du film fait appel au public avec beaucoup de danses, un chien mignon et loyal, et un amour léger. Ne vous méprenez pas ! J’aime bien légèreté mais dans ce cas, je cherchais profondeur dans le film, qui peut me faire penser très forte. Cela ne s’est pas passé. J’ai souhaité que le réalisateur fasse quelque chose plus audacieuse. Plus tard, j’ai découvert que Michel Hazanivicius n’avait pas fait des films qui se prennent au sérieux. J’ai vu ses deux films « OSS 117 : Le Caire, nid d’espions » et « OSS 117 : Rio ne répond plus », qui sont drôles, offensifs et courus.

OSS 117

Malgré, je l’aimais beaucoup plus la deuxième fois parce que je savais que c’est le sorte de film qui me fait sourire, pas penser. Il me fait nostalgique pour des années anciennes et pour la beauté du cinéma. « The Artist » est très charmant, et Jean Dujardin est un gentilhomme français très suave.

Qu’est-ce que tu mijotes là ?

Entre les murs

Entre les murs

Je viens toujours aux films français parce que je suis occupée tous les deux cafés français. Aussi, je suis deux autres cours de film ; donc je regard au moins trois films une semaine. En moyenne, je regarde cinq ou six films une semaine. C’est beaucoup  ! Mais je ne me plains pas. J’aime beaucoup des films. Je veux travailler dans l’industrie de film ; donc ce n’est pas une perte de temps pour moi de voir les films tout le temps. C’est bon parce que j’ai acquis un goût ouvert qui manque de discernement et je peux apprécier tous les styles ou idées différents.
Le jeudi dernier, j’ai vu « Entre les murs » avec Claire et Jenn. Le film raconte l’histoire d’un prof dans un collège très difficile. Les étudiants sont divers ethniquement et ils semblent habiter dans des mauvais voisinages. Ses parents sont des immigrants sans papier (comme les parents de Wei) ou ne parlent pas français (comme la mère de Souleymane). Ce film est similaire à « Le nom des gens » dans la manière qu’il montre une France culturellement diverse. Il est similaire aussi au banlieue cinéma français, comme « La Haine » parce que il n’y a pas d’espoir pour des certaine groupes sociale à cause des conditions socio-économiques. J’étais très triste quand Souleymane n’a pas une deuxième chance et il est renvoyé du collège, qui veut dire qu’il doit retourner à son pays natal. Le film est très réaliste mais un peu long. Claire, Jenn et moi étions surprises qu’il ait une nomination pour les Oscars.
L’autre jour, quand j’ai vu Claire et Lourdes, j’ai leur demandée en anglais, « What are you up to ? » Claire m’a demandée quel ça veut dire. Ça m’a fait rechercher sur l’Internet les phrases pour dire « Ça va ? ».
Ça va? Qu’est-ce que tu fais? Tu vas bien?
Qu’est-ce que tu mijotes là ? Qu’est-ce que tu fabriques? Qu’est-ce que tu manigances? Qu’est-ce que tu nous prépares? Qu’est-ce que tu mijotes? Qu’est-ce que tu nous fais?
Quoi de neuf? Ça boume? Ça gaze? Ça gazouille?

Je viens toujours aux films français parce que je suis occupée tous les deux cafés français. Aussi, je suis deux autres cours de film ; donc je regard au moins trois films une semaine. En moyenne, je regarde cinq ou six films une semaine. C’est beaucoup 🙂 ! Mais je ne me plains pas. J’aime beaucoup des films. Je veux travailler dans l’industrie de film ; donc ce n’est pas une perte de temps pour moi de voir les films tout le temps. C’est bon parce que j’ai acquis un goût ouvert qui manque de discernement et je peux apprécier tous les styles ou idées différents.

Le jeudi dernier, j’ai vu « Entre les murs » avec Claire et Jenn. Le film raconte l’histoire d’un prof dans un collège très difficile. Les étudiants sont divers ethniquement et ils semblent habiter dans des mauvais voisinages. Ses parents sont des immigrants sans papier (comme les parents de Wei) ou ne parlent pas français (comme la mère de Souleymane). Ce film est similaire à « Le nom des gens » dans la manière qu’il montre une France culturellement diverse. Il est similaire aussi au banlieue cinéma français, comme « La Haine » parce qu’il n’y a pas d’espoir pour des certaine groupes sociales à cause des conditions socio-économiques. J’étais très triste quand Souleymane n’a pas une deuxième chance et il est renvoyé du collège, qui veut dire qu’il doit retourner à son pays natal. Le film est très réaliste mais un peu long. Claire, Jenn et moi étions surprises qu’il ait une nomination pour les Oscars.

L’autre jour, quand j’ai vu Claire et Lourdes, j’ai leur demandée en anglais, « What are you up to ? » Claire m’a demandée quel ça veut dire. Ça m’a fait rechercher sur l’Internet les phrases pour dire « Ça va ? ».

  • Ça va? Qu’est-ce que tu fais? Tu vas bien?
  • Qu’est-ce que tu mijotes là ? Qu’est-ce que tu fabriques? Qu’est-ce que tu manigances? Qu’est-ce que tu nous prépares? Qu’est-ce que tu mijotes? Qu’est-ce que tu nous fais?
  • Quoi de neuf? Ça boume? Ça gaze? Ça gazouille?

Ma source: Word Reference

Où va-t-on ?

Quelle horreur !

Quelle horreur !

Le jeudi dernier, j’ai vu le film “Le nom des gens” avec Claire et des autres étudiants. Comme l’affiche à gauche, ce film est scandaleux et choquant. La fille, qui est jouée par Sara Forestier, est un esprit libre. Etant un arabe, elle se couche avec des hommes conservatives pour leur convertir politiquement. Dans une scène, elle oublie à s’habiller quand elle va sortir en bavardant au téléphone. Elle ne reconnait pas qu’elle est complètement nue. Après le film est fini, Claire a demandé des filles si elles l’aiment mais elles ont dit que ce film est très bizarre. Je pouvais comprendre pourquoi mais j’appréciais l’originalité dans ce film. Le scénario est drôle avec de la narration longue, descriptive et spirituel, dont l’humour est typiquement français à mon avis. Comme “L’auberge espagnole”, la sexualité dans “Le nom des gens” est au contraire de notre notion de la sexualité. Par exemple, dans “L’auberge espagnole”, quand la lesbienne Isabelle démontre à Xavier comment de séduire des femmes, elle prend le rôle un male. Pour moi, ça fait une grande différence. Dans « Le nom des gens », quand Baya et Arthur font l’amour, il la habiller au lieu de la déshabiller. Je pense que c’est très intéressant. Il y a toujours le reversement de quelque chose.

J’ai mangé dîner avec Claire et Jenn hier. Nous avons parlé de la différence de la culture entre l’Europe et l’Amérique. En France, pendant les weekends, tout le monde est au dehors, s’amusant le soleil, etc. Mais ici, personne ne reste au dehors. Où va-t-on ? C’est la question.

J’suis français, espagnol, anglais, danois ! J’suis comme l’Europe, j’suis tout ça

Le vendredi dernier, j’ai regardé le film « L’auberge espagnole » pour la première fois.  C’est très curieux parce que c’est toujours le premier film de l’année scolaire que Capucine et Yoann aient montré dans le passé. Mais après j’ai regardé le film, je pouvais comprendre pourquoi ça. C’est exactement l’esprit des maisons de langue. Ce sont des interactions de la vie quotidienne avec une autre personne d’une culture différente. Dans le film, il y a beaucoup d’expériences uniques qui viennent de ces interactions. J’ai beaucoup d’amis internationaux donc je peux me sentir des affinités avec les personnages. C’est une histoire de l’amitié, de l’amour à longue distance, de la séduction (oui, il y a une scène très mémorable de la séduction). Le film capture des sentiments de la jeunesse. Quand Xavier (Romain Duris) arrive à Barcelona, il a peur de l’inconnu, des difficultés de la communication, etc. Mais, après un court laps de temps, il aime la ville. Il même se sentir offensé quand Anne-Sophie (Judith Godrèche) dit que Barcelona est « tiers-mondiste ». Quand il retourne à la France, Barcelona lui manque et la France devient étrange. J’ai appris aussi du programme d’échange Erasmus. C’est très intéressant.

J’ai parlé un peu avec Claire avant le début du film. Nous avons discuté la nécessité de pratique une langue tous les jours. J’espère que je peux parler plus avec Claire, Suzy, Chrissy et Saniya à l’avenir.