La meilleure histoire.

Cette semaine, j’apprenais quelques mots. Il y a des exemples :

L’intrique : (Plot) Um… je ne sais pas comment le définir…

Crise cardiaque : (Heart attack) Quand un cœur ne fonction plus.

J’ai une histoire pour tout le monde aujourd’hui. C’est une histoire court de Pierre, et c’est complètement vrai. En fait, elle pourrait la meilleure histoire de tout le temps. Il y a l’histoire comme Pierre m’a dit : « Il était une fois, il y a un roommate d’un assistent Français qui essayait de me tuer. Il essayait de me faire avoir une crise cardiaque en se mettant derrière la porte à chaque fois que je l’ouvrais. Il était un roommate méchant, mais j’ai survécu parce que je suis un homme. C’est vrai. Fin. » Comme quelqu’un peut voir, c’est une histoire très compliquée et développée. Il y a les personnages très complexes et l’intrique est complètement original.

Comme j’ai dis avant, c’est la meilleure histoire jamais.

Parce que je parlais à propos de « Père Ubu » dans mon autre blog, je voulais présenter un exemple de la pièce pour toute la maison de Français. Donc… il y a.

(C’est la première trois pages (approximativement) de la pièce.)

Père Ubu:

–Merdre.

Mère Ubu:

–Oh! voilà du joli, Père Ubu, vous estes un fort grand voyou.

Père Ubu:

–Que ne vous assom’je, Mère Ubu!

Mère Ubu:

–Ce n’est pas moi, Père Ubu, c’est un autre qu’il faudrait

assassiner.

Père Ubu:

–De par ma chandelle verte, je ne comprends pas.

Mère Ubu:

–Comment, Père Ubu, vous estes content de votre sort?

Père Ubu:

–De par ma chandelle verte, madame, certes oui, je suis content. On

le serait à moins: capitaine de dragons, officier de confiance du roi

Venceslas, décoré de l’ordre de l’Aigle Rouge de Pologne et ancien roi

d’Aragon, que voulez-vous de mieux?

Mère Ubu:

–Comment! après avoir été roi d’Aragon vous vous contentez de mener

aux revues une cinquantaine d’estafiers armés de coupe-choux, quand

vous pourriez faire succéder sur votre fiole la couronne de Pologne à

celle d’Aragon?

Père Ubu:

–Ah! Mère Ubu, je ne comprends rien de ce que tu dis.

Mère Ubu:

–Tu es sí bête!

Père Ubu:

–De par ma chandelle verte, le roi Venceslas est encore bien vivant:

et même en admettant qu’il meure, n’a-t-il pas des légions d’enfants?

Mère Ubu:

–Oui t’empêche de massacrer toute la famille et de te mettre à leur

place?

Père Ubu:

–Ah! Mère Ubu, vous me faites injure et vous allez passer tout à

l’heure par la casserole.

Mère Ubu:

–Eh! pauvre malheureux, si je passais par la casserole, qui te

raccommoderait tes fonds de culotte?

Père Ubu:

–Eh vraiment! et puis après? N’ai-je pas un cul comme les autres?

Mère Ubu:

–A ta place, ce cul, je voudrais l’installer sur un trône. Tu

pourrais augmenter indéfiniment tes richesses, manger fort souvent

de l’andouille et rouler carrosse par les rues.

Père Ubu:

–Si j’étais roi, je me ferais construire une grande capeline comme

celle que j’avais en Aragon et que ces gredins d’Espagnols m’ont

impudemment volée.

Mère Ubu:

–Tu pourrais aussi te procurer un parapluie et un grand caban qui te

tomberait sur les talons.

Père Ubu:

–Ah! je cède à la tentation. Bougre de merdre, merdre de bougre, si

jamais je le rencontre au coin d’un bois, il passera un mauvais quart

d’heure…

C’est absolument ridicule et merveilleux ! Il y a les prononciations uniques et les mots fous et la grammaire horrible. De plus, l’intrigue est complètement absurde. C’est absolument hilarant. On peut le lire sans coûte, immédiatement sur l’internet à le site suivant. Je pense que vous l’aimerez.

http://www.gutenberg.org/files/16884/16884-8.txt