Bonjour à tous!
Comme d’habitude, ma semaine était très chargé mais aussi satisfaisante. Pour le français, je suis allé au café français, où Olaf a évoqué ses souvenirs des femmes européennes. Aussi, j’ai regardé le film L’arnacoeur, une comédie romantique avec Romain Duris (qui était dans un autre film que nous avons regardé, L’auberge espagnole). C’était drôle, mais j’ai trouvé que l’intrigue était un peu tirée par les cheveux, et que les personnages étaient aussi un peu plats. Eh, mais c’est moi.
Est-ce que vous connaissez la législation d’internet qui a été passé au Canada à janvier? Le CRTC (Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes) a décidé que les canadiens doivent payer plus pour utiliser l’internet – mais pas comme aux États-Unis. La décision a dit qu’il y aurait une limite pour télécharger – aussi petit que 25 Go – et que chaque utilisateur devrait payer plus pour chaque Go additionnel. Donc, on verrait un grand change dans le prix pour accéder à l’internet, en particulier parce qu’on doit avoir à moins 4 Go pour télécharger un film.
Naturellement, le tollé public contre l’UBB était très, très grand. Des communautés internet américains, européens, et canadiens ont travaillé pour combattre cette législation, et il y avait beaucoup de manifestations qui ont exprimé la désapprobation du public canadien. À 2 février, Tony Clement, le ministre d’industrie du Canada, et Stephen Harper, le premier ministre du Canada, ont demandés pour la suppression de ce programme; à ce moment, le CRTC continue à “reconsidérer.”
Donc, qu’est-ce que nous pouvons apprendre de cette situation? Je crois qu’ici existe des grands leçons du pouvoir du public. Le CRTC et le gouvernement ne pouvaient pas ignorer simplement le tollé du public – en fait, ils ont fait un effort à changer la législation après qu’ils aient réaliser la colère des gens.
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