La semaine dernière, j’ai commencé vraiment à avoir l’expérience de la maison française. Les résidents et Dr. Bessy ont mangé ensemble pour la première fois ; j’ai regardé le premier film (« L’Auberge Espagnole » – j’ai appris aussi que le titre du film a un autre sens : « un auberge espagnole » est comme un mélange, ou un « melting pot ») de la longue série qui sera montrée cette année. Cette semaine, je suis allé à « Fun in French », ou j’ai appris un peu plus de la France en général (et aussi que, selon Ekow, la France a un peu de difficulté quand elle essaie à gagner les matchs de foot).
Aussi cette semaine, la maison française a présenté un film fantastique : Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain. Depuis le début d’Amélie à 2001, le film est souvent décrit comme « un film français quintessentiel », et beaucoup d’américains pensent au style visuel d’Amélie quand ils veulent décrire le monde de cinématographie française. Mais, quand j’ai essayé à parler à Yoann d’Amélie, j’ai découvert qu’il ne l’a jamais vu – naturellement, j’étais très étonné. Plus tard, quand nous avons discuté le sujet de la conversation pour lundi (je dois sélectionner le sujet), j’ai trouvé aussi qu’il ne connaissait pas la Nouvelle Vague. Encore, j’étais un peu confus.
Oui, il y a une grande ironie dans ces faits, et je pourrais utiliser ce blog pour réfléchir à l’idée que les personnes (en particulier, moi) font souvent des suppositions qui confirment leurs convictions naïves du monde artistique international.
Mais je préfère parler un peu au mouvement Nouvelle Vague.
« La Nouvelle Vague » est un mouvement de film français qui s’est passé à « l’époque de la Nouvelle Vague » (environ 1958-1964). Après la seconde guerre mondiale, les jeunes personnes artistiques qui aimaient les films cherchaient une échappatoire – la France avaient étés ravagés par les conflits et l’occupation allemande. Ils ont fait des ciné-clubs, comme la Cinémathèque Française, avec qui ils passeraient à regarder les films dans les cinémathèques. Avec le temps, ces artistes ont trouvés qu’ils en avaient assez de « cinéma de qualité » – les films qui, aux yeux des cinéphiles, étaient trop recyclés et sans signification. Ils ont décidé, en réaction, à tourner des films qui auraient, peut-être, des âmes.
Et, comme ça, la Nouvelle Vague a été né. Les réalisateurs comme François Truffaut, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette et Louis Malle feraient des films qui exprimeraient beaucoup de nouveaux styles, et qui inspireraient des metteurs en scène innombrable, même des personnes comme Quentin Tarantino et Martin Scorsese. Donc, on peut toujours voir les « ondulations » de la Vague aujourd’hui…c’est vraiment incroyable.
Une petite scène de Jules et Jim, un film de Truffaut, ici: Jules et Jim, Le Tourbillon. Une femme chante de la turbulence dans les vies des personnages.
Sources: http://www.newwavefilm.com/new-wave-cinema-guide/nouvelle-vague-where-to-start.shtml
http://www.newwavefilm.com/about/history-of-french-new-wave.shtml