Salut à tous!
Au dernier dîner, les résidents de la maison française et moi ont dîné avec Dr. Bill Allen, un prof de MLL, et la conversation a pris un tour théâtral : nous avons parlé un peu du « Théâtre de l’Absurde ». Ce nom signifie des pièces qui sont, naturellement, absurdistes, mais dans une époque spécifique – c’est comme un mouvement d’art.
Donc, qu’est-ce que c’est, l’absurdisme ? Dans ce mouvement, on peut trouver des aspects particuliers qui sont révélateurs d’absurdisme : ces dramaturges nous montrent des personnages qui n’ont pas de sens de vie ; leurs actions sont naturellement sans sens aussi, et souvent ces actions sont illogiques et incompréhensible. Dans les pièces d’absurdisme en général, il y a aussi des éléments de la satire, de l’humeur noire, et aussi d’un sentiment que les personnages ne sont rien et personne.
S’il y a une pièce absurde qui est la plus connue, c’est peut-être En attendant Godot de Samuel Beckett. L’intrigue semble d’être très simple mais aussi un peu fou : deux personnages, Vladimir et Estragon, attendent un autre personnage (qui est, vraiment, plus comme une présence invisible) pour l’entérite de la pièce. Donc, on regarde deux personnages en attendant quelqu’un d’autre (et deux autres, plus tard mais seulement pour un peu de temps) pour deux actes, mais c’est difficile pour les spectateurs de connaissent Vladimir et Estragon, même après tout de ce temps : ils sont presque fous, et toujours absurdes. Pourquoi est-ce qu’ils attendent, et pourquoi est-ce qu’ils continuent, même quand Godot rate à apparaitre ? C’est facile à trouve dans cette pièce une grande tristesse – Vladimir et Estragon, deux hommes, ne rencontrent jamais avec « Godot », qui est presque « God » (le Dieu en anglais).
Je crois que j’aime l’absurdisme parce qu’il est juste ça : absurde. Dans une pièce d’Ionesco, Les Chaises, on regarde un couple âgé alors qu’ils et l’estrade sont submergés par les chaises titulaires. Dans une autre pièce d’Ionesco, Rhinocéros, les personnages sont transformés aux rhinocéros. Mais l’absurdisme de ces pièces est utile à montrer des grand idées et thèmes : la subversion, la tristesse, le vide, le fascisme, et la perte.