Comme vous savez, le « Jour de la Terre » (Earth Day) est ce jeudi 22 avril. Dans l’esprit de sensibilisation à l’environnement, je vous écris sur un sujet qui a causé le président français Nicolas Sarkozy beaucoup de mal. En septembre de l’année dernière, Sarkozy a annoncé ses plans pour une nouvelle taxe sur le carbone qui visait à lutter contre le réchauffement de la planète. Il avait prévu de l’impôt pour couvrir l’utilisation du pétrole, du gaz, et du charbon. Cette taxe a été à 17 euros par tonne de CO2 émise, et qui devait s’appliquer à la fois les ménages et les entreprises. Seules les industries lourdes et des entreprises d’électricité que nous avons inclus dans l’Union européenne, les systèmes d’échange d’émissions qui ont été exclus de cette nouvelle taxe. M. Sarkozy a promu l’idée que la taxe sur le carbone était destinée à provoquer les gens français soit au courant de leur empreinte sur l’environnement et à changer leurs habitudes et à réduire leur consommation d’énergie en conséquence. Il a également déclaré que toutes les recettes de la taxe nouvelle finiraient par revenir dans les contribuables, notamment par le truchement poches réductions d’autres taxes. Cependant, son plan n’était pas populaire parmi les gens français ou à travers le spectre politique français. Ses opposants et les critiques ont dit qu’il s’agissait simplement d’un stratagème qui a été vraiment destinées à stimuler les finances de l’état défaillant. Autant que 2 / 3 des électeurs français ont déclaré qu’ils étaient opposés à la taxe sur le carbone proposée parce qu’ils ne veulent pas payer leurs factures augmenter.
En mars, la partie de Sarkozy a subi sa plusieurs mal défaite en cinq décennies dans les élections régionales. Sarkozy avait déjà essuyé des critiques beaucoup plus par les médias et ses rivaux, qui disent qu’il n’est pas écouter les électeurs. Un de l’ancien ministre des Affaires étrangères de France a déclaré que l’inégalité et l’injustice en France a atteint un niveau inacceptable. Avec son avenir politique remis en cause et contestée, Sarkozy abandonné ses projets d’ouverture de la taxe sur le carbone. Bien que la taxe a été une pierre angulaire du politique de l’environnement de Sarkozy et a été promu la contribution d’elle à la prévention du réchauffement de la planète de France, il affirme que le projet a été reporté indéfiniment. Le Premier ministre français François Fillon a dit qu’une taxe de ce genre devrait être imposées dans toute l’Europe et pas seulement en France afin que les entreprises françaises ne souffrent de désavantages concurrentiels.
Maintenant, Sarkozy tente de mettre en œuvre son impôt de manière que les électeurs pourraient ne pas protester. Il a rejoint les forces du Premier ministre l’Italie, Silvio Berlusconi, pour essayer d’obtenir de la Commission européenne d’imposer une taxe sur le carbone sur les produits qui sont importés de l’extérieur de l’Union européenne. Sarkozy et Berlusconi dire que les pays qui n’ont pas à se conformer à la réglementation de l’Union européenne sur les normes environnementales devraient avoir à payer une taxe sur les produits qu’ils importent dans l’Union européenne. Ils ont envoyé une lettre à José Manuel Barroso, qui est à la tête de la Commission européenne qui a dit qu’il serait inacceptable pour les efforts de l’Union européenne d’être compromis par des fuites de carbone dû à un action insuffisante de un autre pays. L’Union européenne a des objectifs ambitieux pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Sarkozy et Berlusconi dire que l’impôt peut être utilisé pour rendre les pays en dehors de l’Union européenne de réduire leurs émissions de carbone. Il s’agit d’une nouvelle version du plan initial de Sarkozy, mais il permettra à la France de contribuer à la prévention du réchauffement de la planète une fois de plus.
http://www.neurope.eu/articles/99988.php
http://www.accountancyage.com/accountancyage/news/2261537/france-italy-call-international