Il n’y avait pas trop de travail ce semaine pour moi. Mais c’était pas une semaine joyeux pour moi. J’ai entendu les nouvelles et les informations très mal, très pas droit. Je comprends que c’est dans la sud des Etats Unis, il y a certaine personnes qui sont plus conservateur que les autres, mais je ne comprends pas que c’est 21e siècle, la discrimination contre les personnes juste à cause de leur couleur, ce n’est pas acceptable. J’ai vu le film Douze années d’un esclave hier, et j’ai décidé que je voudrais essayer de mon mieux pour aller au nord pour étudies supérieurs.
Suffit pour la gravité. Dans ma classe de musique, j’ai entendu un piano prélude de Claude Debussy: La ville aux Cheveux de Lin. Je promets que c’est le plus belle mélodie j’ai entendu pour ce semaine, par rapport à d’autres travaux atonal.
Comme Ravel, Debussy est un français compositeur très connu associé à la musique impressionniste. Comme le symbolisme, la musique impressionniste est la musique du rêver. Je pense que le mot s’inscrit ses travailles. Mais Debussy n’aime pas le mot impressionniste pour son musique beaucoup.
Debussy est né à Saint-Germain-en-Laye, France, 1862. Ses parents ne sont pas musicians. Mais Debussy est manifestement talentueux. Il assiste conservatoire de Paris à l’age de dix, et il gagne le Prix de Rome à 1884. Bien qu’il est un pianist brillant, et un exceptionnelle lecture de vue, Debussy choisit sa carriere à l’expérimentation à musique. Sa musique est considéré comme bizarre à ce moment. Mais son jeu autour de la tonalité et son utilisation d’autres échelles ouvre une nouvelle ère pour la musique romantique.