Ah, c’est bien de commencer encore à poster ces blogs. Ces sont des bons opportunités pour pratiquer le français écrit. Et, à demain, nous recommencer les dîners hebdomadaires ! C’est un peu difficile pour moi de me mets encore dans le bain, mais je suis prêt !
Cette semaine, je vais parler un peu de l’art de la rue – le graffiti. Connaissez-vous Banksy, l’artiste anglais qui est un phénomène du monde de graffiti ? La personne dont l’identité a presque été vendue pour un million dollars ? Après tout, il trouve ses bases dans un homme et artiste français : Blek le Rat. En fait, il a dit : « chaque fois que je pense que j’ai crée quelque chose complètement originale, je trouve que Blek le Rat a fait la même chose, mais vingt ans avant que moi. »
Blek le Rat est souvent considéré comme « le père de l’art de dessiner au pochoir. » Il a commencé son art urbain à Paris il y a trente ans – en 1981. Il n’aime pas le terme « graffiti » – il trouve qu’il y a trop d’émouvantes négatives qui sont associés avec le mot.
Souvent, la questionne pour ces artistes est simplement « Pourquoi ? » Blek répond avec enthousiasme : « Mes dessins au pochoirs sont un cadeau pour tout le monde, et ils sont remplis avec des messages politiques. Nous [les artistes urbains] apportons la galerie à la publique ! » Le rat, une anagramme d’art et le symbole de Blek, est devenu un symbole sous sa direction. Il les dessine souvent en regardent une ville, comme ils vont se lever et révolter. Cette révolte, selon Blek, est comme le mouvement de l’art urbain lui-même – il essaie à prendre la ville et la transforme.
Et vraiment, cette « révolte » se grandit, et peut-être nous se trouverons à bientôt dans un monde où l’art de Banksy et Blek n’est pas une rarité.
Oui, c’est interessant mais comment est le reaction a ces artes ubaines?
Très intéressant! Je ne connais pas grand chose sur le graffiti et n’avais jamais entendu parler de Blek le Rat…