Les semaines n’arrêtent jamais

Le 7em février, l’auteur et le cinéaste algérienne Assia Djebar est morte en Paris.  Elle y habitait et aussi en New York pour ces dernières années.  Elle a enseigné à L’université de New York, et elle était aussi le première algérienne (et la cinquième femme) qui était acceptée à l’Académie Française.  L’Académie Française est l’autorité officielle sur toutes les choses de la langue française.  Assia Djebar est née en Algérie avec le nom Fatima-Zohra Imalayen.  Elle a choisi un nom de plume quand elle a publié son premier livre parce qu’elle avait de peur de la réaction de son père.   Quand elle avait dix-huit ans, elle a déménagé pour étudier à l’Ecole Normale Supérieure de Sevrés.  Elle a gagné beaucoup de prix pour ses œuvres, et ses livres ont été traduits en vingt-trois langues.  Elle avait 78 ans quand elle est morte.

Sans transition, c’est une semaine très occupée pour moi.  Demain je prends un cours en Columbia pour mon stage.  Je dois sécher tous mes cours de Furman demain, alors j’essaie de faire beaucoup de devoirs aujourd’hui.  Aussi, je n’ai pas mon ordinateur portable à ce moment parce que j’ai craqué l’écran, et maintenant je l’ai laissé à un magasin qui répare les ordinateurs.

Dimanche nuit Mathilde, Lindsay, Adi et moi avons pris une promenade au tour du lac, et après ca nous avons grimpé des arbres à minuit.  C’était une nuit parfait. Nous sommes très cool.  Il y a un arbre que j’avais vu souvent l’année dernière, et il ressemble à un arbre parfait pour grimper.  Je n’ai jamais le grimpé parce que il y avait toujours des gens qui le passaient, mais à minuit il n’y avait que deux ou trois gens qui le passaient.  Mes colocs sont les meilleures.

5 thoughts on “Les semaines n’arrêtent jamais

  1. J’ai vu cet article sur la mort de Mme Djebar, académicienne, la semaine dernière, et je ne connais pas du tout ses films. J’ai lu certains de ses romans, et je dois en avoir dans mon bureau si tu veux en emprunter. L’Académie et la littérature ont perdu une personne vraiment exceptionnelle ! Et l’une des rares auteurs qui se souvenait d’une Algérie française, en plus.

    Toutes les résidentes de la Maison française font des promenades de minuit et grimpent dans les arbres ? J’aurai découvert des choses, en lisant ces blogs, c’est certain ! On fait de l’escalade, on grimpe dans les arbres, bientôt on va commencer à faire de l’alpinisme… Il faudra qu’on mette des cordes sur le balcon de l’appartement pour vous permettre de monter d’une façon plus adaptée à vos passe-temps ! (Et je pense que je sais de quel arbre tu parles : juste devant South Housing ?)
    Les semaines se suivent, mais ne se ressemblent pas forcément!

    • Je suis d’accord avec vous, M. Patton. Il faut que tout le monde faire l’escalade pour entrer dans notre apartment. Comme le prince de Repunzel.

    • Dr. Patton, j’aime beaucoup que vous connaissez l’arbre ! Il y en avait deux – celui dont Emma parle et près de la bibliothèque, mais je pense que l’autre et celui dont vous penser.
      Adi – on peut garder notre porte toujours fermée et suspendre une corde de notre balcon et dit à tout le monde qu’ils doivent le grimper pour entrer notre appartement.

  2. En réaction à ton titre, c’est vrai que les semaines ne s’arrêtent pas… elles défilent, défilent, défilent ; ça fait déjà 1 mois que les cours ont repris ! Cela me paraît très loin en même temps.
    J’aurais appris quelque chose en lisant ton article, je ne connaissais pas Assia Djebar. Je viens de regarder sa filmographie, cela serait intéressant que je passe l’un de ses films un jeudi soir !
    Et je confirme, nous sommes la meilleure coloc possible.

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