La semaine dernière, j’ai fait une blague dans lequel j’ai dit que je n’ai pas avoir assez de “Frenchness” dans ma vie. Alors, faites attention de celui pour lequel vous souhaitez. Parce que cette semaine les Pauper Players a eu un grand spectacle de Les Misérables par l’auteur français Victor Hugo. C’était vraiment incroyable ! Les chansons était fantastique étaient assez bonnes. C’était la première fois que j’ai vu une production de la comédie musicale. Pour être honnête, j’étais juste un peu nerveux à l’idée. C’est un des chef-d’œuvres de Victor Hugo et la musique est très célèbre et vraiment difficile. Ça demande beaucoup de travail, de compétence et de pratique pour avoir une bonne performance. Mais c’était évident que le groupe avait fait une énorme quantité de travail parce que la performance était inspirante.
J’ai fait des recherches sur le roman un peu après le spectacle. Une des choses que j’ai trouvé très intéressant, c’est que Victor Hugo était célèbre pour ses digressions. Souvent dans ses romans, il suffit d’écrire longuement sur des sujets qui étaient complètement différentes à l’intrigue de ses histoires. J’ai lu un article qui a expliqué que ces moments étaient les « expositions de génie. » Il a dû être très difficile pour le librettiste de la comédie musicale de réduire et de rationaliser l’ensemble de la matière du roman original. Je parle de cette topique maintenant dans une de mes classes. Il est étonnant que la musique soit en mesure de dire encore efficacement le dialogue même avec tant de texte réduite.
J’aurais tant aimé pouvoir aller au spectacle, surtout que j’ai enseigné Victor Hugo la semaine dernière. Ca tombait bien! J’ai hâte de voir la pièce “Le Dîner de cons” à Furman le 1er mars: encore plus de “Frenchness” dans ta vie Ryan!
J’y suis aussi allé avec quelques-uns de tes amis et c’était vraiment fantastique, j’étais impressionnée par la qualité de cette représentation qui n’a été montée qu’en deux mois et demi, les voix étaient superbes… tous a été montés par des étudiants! ça m’a rappelé de bons souvenirs de l’opérette “la vie parisienne”, on avait tout fait nous-même… c’est du boulot!!