Salut à tous!
Je suis désolé – je n’ai pas écrit un blog pour la dernière semaine ! J’ai pensé que j’ai lu dans le syllabus qu’il faut simplement que nous écrivions douze blogs, donc…je suis en écrivant maintenant.
De toute façon, cette semaine, je vais écrire un peu sûr le film Les Triplettes de Belleville. C’est un film animé de Sylvain Chormet où une grand-mère, Mme Souza, essaie à trouver son petit-fils, Champion, dans une grande ville (qui s’appelle Belleville) après qu’il est kidnappé.
Le style d’animation de ce film est très unique – les personnages peuvent être caractérisés par les couleurs qu’ils portent, où leurs cadres, et la représentation du corps humain est vraiment unique (Champion, par exemple, a des mollets très grands, presque ballonnés). Le film est aussi très coloré, et les décors sont très pittoresques. Aussi, et c’est très surprenant dans le film quand on est l’en regardent, il n y a pas de dialogue. Les personnages expriment ça qu’ils veulent dire avec les actions et des petits signes. Tout de ces choses crée un film très intéressant et stylistique.
Mais moi, j’aimais aussi bien le film pour son commentaire du monde ; le cinéaste a beaucoup de messages, et il est très explicit quand il veut montrer un thème ou un critique. Quand Mme Souza et son chien gros, Bruno, vont à Belleville, on voit la statue de liberté, mais c’est un peu changée : la statue est grosse, et elle tien un cornet et un hamburger. À Belleville, tous les citoyens (ce n’est jamais dit, mais je crois que c’est claire qu’ils sont des américains) sont gros aussi – il marche vers les rues, vacillants et répugnants. Un bâtiment, avec une grande bouteille de vin au sommet, montre les mots « en vino, veritas. » La ville elle-même est énigmatique est très sombre ; elle surgit au-dessus des personnages (la ville en France devient sombre aussi quand la ville commence à grandir).
Ce film n’est pas réservé. Il est très direct ; il essaie à nous montrer un monde où tout le monde est exagéré mais, dans cet exagération, vrai.
C’est très bien écrit Earl, bon travail! J’ai aussi aimé le film pour la critique sociale que tu as décrite mais par contre, je n’ai pas apprécié le graphisme et les couleurs. Qu’en penses-tu? J’espère que tu vas bien et bon courage pour la fin du semestre!