Salut à tous!
La dernière semaine était un peu chargée, et cette semaine ne sera pas très différente, malheureusement. Mais j’ai eu l’occasion de préparer un repas philippin, de regarder un film d’anime des années 80, et aussi de donner des cours de français à deux élèves – ah, c’est la vie, non ? Je suis prêt de cuisiner encore pour la maison ; je veux préparer le curry de poulet !
Mais maintenant, je vais parler un peu d’une femme qui est souvent reconnu dans le monde de film pour ses talents : Marguerite Duras. Un petit fait avant que je commence : « Duras » n’est pas vraiment son nom de famille – elle est née Marguerite Donnadieu. Elle a adopté le nom « Duras » parce que son père a vécu là quand il était jeune.
Donc, qui est Marguerite Duras ? Elle est artiste, scénariste, et écrivain. Sa jeunesse était très difficile ; sa famille était cruelle, et elle s’est trouvée souvent aux situations violentes. Quand elle avait dix-sept ans, elle est allée en France, où elle deviendrait un membre de la « Résistance française » (contre L’État Français) aux années 40. Quand elle était plus âgée, elle écrirait deux ouvres importantes : L’Amant et Hiroshima mon amour.
L’Amant est un roman autobiographique d’une jeune femme française (elle a quinze ans) et un homme chinois (il a vingt-sept ans) qui sont dans un rapport romantique. La jeune femme utilise ce rapport comme une échappatoire à sa vie agité ; l’homme, peut-être, essaie à regagner sa jeunesse – il essaie à éviter sa vie et ses responsabilités. Mais le monde qu’ils créent n’est pas immortel : quand le père de l’homme découvre leur rapport, ils doivent le finir.
Hiroshima mon amour est une ouvre d’une style différente, mais les spectateurs peuvent redécouvrir quelques thèmes analogues : deux personnages qui sont nécessairement étrangères (mais aussi, qui trouve un rapport transcendantal) se rencontrent, mais ils ne peuvent pas rester ensemble – la réalité du monde n’est pas si simple. Mais Duras met ces personnages dans un monde qui est naturellement difficile et, peut-être, menaçant – dans un monde où des vies peuvent être terminées dans un seul moment, comment est-ce qu’un rapport peut exister ?
Ici, un clip de Hiroshima mon amour. C’est un film d’oubli – un film de la mémoire et aussi la manque d’une vraie mémoire. Quand on peut tuer et faire de bien si facilement et au même temps, comment est-ce qu’on survivre?
Très bien écrit Earl! J’aime beaucoup Duras. Elle a une oeuvre tellement importante! En plus c’est intéressant qu’elle ait grandi en Indochine. Est-ce que tu as lu L’Amant, je ne crois pas que ce soit le père qui découvre la liaison mais plutôt la mère.
J’espère que tu vas bien. Je vois que tu te transformes en vrai chef!