D'écrire ou pas d'écrire?

La semaine à la Maison Française s’est bien passé. Cette fois-ci, je vais essayer quelque chose de nouveau. Au lieu d’écrire un blog normal, je vais écrire comme Madame de Sévigné. Voici une photo:

Pourquoi? Parce que la semaine dernière, j’ai lu ses lettres dans mon cours de la littérature française et je l’aimais bien. Quand Pierre-Antoine a entendu ce qu’on étudie, il m’a dit quelques choses à propos d’elle. Dans ses mots propres, il a dit: “Elle  a habité près de sa ville en Bretagne et qu’elle écrivait des lettres. C’était trop cool et tout le monde s’en fichait. Donc, cela l’a rendu triste. Du coup, elle a pillé un supermarché, brûlé des écoles et assassiné 43 prêtres. Elle est également connue pour ses exploits en tournois de pétanque et ses gains faramineux au tiercé. ” De tout ce qu’il a dit, seulement la premiere phrase est correcte. Tous les autres sont fausses. J’ai presque lui croire mais je ne pense pas qu’une femme noble peut faire des mauvais crimes. La vraie histoire est qu’elle est une épistolière qui est un écrivain qui excelle dans le genre épistolaire (par lettres).  La littérature était un mouvement vers le milieu du XVIIe siècle où Louis XIII et Louis XIV ont régnés.  Elle est née Marie de Rabutin-Chantal. A dix-huit ans, elle épouse le marquis de Sévigné mais après sept ans de mariage, il se fait tuer en duel. Pour le reste de sa vie, Mme de Sévigné était veuve mais ce titre n’était pas mal dans cette periode. Maintenant, elle était indépendante qui veut dire qu’elle peut faire ce qu’elle veut. Elle avait un château, une grande fortune, et deux enfants. Elle aimait son rôle de mère spècialement avec sa fille. Ce n’est pas l’histoire de Mme de Sévigné qui m’a frappé le plus, mais la façon dont elle écrit. Elle écrit avec un style parlé. On sent qu’elle parle à vous, comme vous êtes le destinataire de ses lettres. On sent tous les émotions spècialement quand elle ecrit à sa fille. J’aime bien son style d’écrire alors j’ai décidé de faire le même…

A Tous les Etudiants à la Maison Française, Marianne Bessy, et Pierre-Antoine

A Greenville, lundi le 21 septembre 2009

Voici une terrible semaine, mes amis. Une semaine la plus dure, la plus fatigante, la plus incroyable, la plus difficile, la plus bizarre, la plus longue mais aussi la plus inouïe, la plus merveilleuse, et la plus amusante. Je veux expliquer tout ce qui est arrivé mais je ne trouve pas des mots pour le faire. Mais, mon Dieu, il faut que je dise la vérité même si les mots ne viennent pas facilement. Tout d’abord, les activités français m’a plaît comme les jeux et les divertissements au château. J’adore les moments que je passe au cafe francais. J’aime bien savoir les rêves des gens même leurs histoires embarrassants. Le picnic à l’intérieur était comme un repas avec des anges. Mon amie près de mon cœur, Lubaina, a 20 ans maintenant et je me sens le vrai bonheur.

Alors, je veux dire seulement au revoir mes amis. Peut-etre on se trouve des choses de faire cette semaine…

Fin

Sources

R-J, Berg & Fabrice Leroy. Littérature française: Textes et Contextes, Tome I. New York : John Wiley & Sons, 2002.


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